La guerre, la mémoire et l’Histoire
L’amour, la jalousie, les histoires
L’amitié, le partage, sans histoires
La guerre, le sang, l’étendard
La haine, le mépris, les mouchoirs
La passion, les tourbillons dans le brouillard
La solitude, l’hystérie, les trouillards
La violence, les séquelles, défouloir
Juchée sur mon perchoir
Je me fous de tout
Je me nourris de rien, d’art
Et à mes amis je dis, je donne
Les yeux fermés, bandés, comme à collin-maillard
À jamais, pour toujours mon amour
Avec ou sans caviar,
Parfois en grosse jaguar,
Car comme une série d’ampoules dans un couloir noir
Ils annihilent n’importe quelle souffrance sans faire-valoir.